Elue « deuxième start’up la plus innovante de l’année », lors du concours organisé en 2014 par UBI France et la BPI, Preezm a participé au salon du numérique à Toulouse, sur le stand de La Mêlée Adour.

Reprendre le contrôle de leurs coordonnées, sans dépendre d’une centrale de stockage : c’est le défi proposé aux particuliers et aux entreprises par la start’up Preezm. Fondée à Paris en 2012 par Edouard Aguillaume et Loris Barnasson, cette société ambitionne d’établir une « relation client 3.0 éthique et directe ». L’idée de départ est simple : promouvoir la décentralisation des données, pour leur permettre d’échapper aux tentatives de contrôle extérieur ou de hacking. L’application Preezm permet aux particuliers de mettre à jour leur carnet d’adresses et aux entreprises d’actualiser leur base de données sur le principe du « one to one ». Aucun stockage collectif des données n’est effectué. « Avec Preezm, les marques s’engagent, par le biais d’une charte éthique Digital Fairplay®, à respecter le choix de leurs clients, et même à être rayées de leurs listes, si tel est leur souhait. En contrepartie, elles permettent à leurs clients d’être protégés contre toute action numérique malveillante. Cela génère de la confiance et cela accroît la fidélisation », assurent les deux fondateurs. « Pour les particuliers, Preezm facilite la mise à jour mutuelle des coordonnées de manière automatique, sans garder de trace des informations transmises ». L’application est arrivée fin juin 2015 sur Androïd et début juillet 2015 sur IPhone. Son succès auprès de plusieurs milliers de particuliers ou d’entreprises repose sur deux piliers, comme le soulignent Edouard Aguillaume et Loris Barnasson : « c’est une démarche participative, car les utilisateurs sont pleinement responsables de leurs données, et sûre, car elle les met à l’abri d’une prise de contrôle extérieure ».

Pour en savoir plus : www.preezm.com

Loris Barnasson sur le stand de La Mêlée Adour à Toulouse

Loris Barnasson sur le stand de La Mêlée Adour à La Mêlée Numérique de Toulouse

Textes et photos : Jean-François Courtille

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